
La super‑star des Los Angeles Lakers, LeBron James, a été frappée par une indisposition physique de taille au pire moment : à l’aube de la saison 2025‑26. Les Lakers ont annoncé qu’il manquerait le début de la campagne en raison d’une sciatique du côté droit, une pathologie nerveuse affectant le bas du dos ou la région de la fesse.
Selon les informations divulguées, l’attaquant de 40 ans devrait rester éloigné des parquets pendant environ trois à quatre semaines, ce qui l’empêchera au minimum d’être sur le terrain pour les premières rencontres de la saison, notamment pour le match d’ouverture le 21 octobre contre Golden State.
Cette blessure est d’autant plus préoccupante que LeBron n’a pas participé aux entraînements complets du camp d’entraînement, et le coach des Lakers, JJ Redick, a indiqué que son retour se ferait selon son propre rythme.
Pour bien comprendre l’impact de cette blessure, il faut rappeler que la sciatique peut être causée par divers phénomènes — compression nerveuse, hernie discale, spasmes musculaires, ou irritation du nerf sciatique — et qu’elle engendre souvent douleur, engourdissement et faiblesse dans la jambe. Dans le contexte sportif de haut niveau, gérer une sciatique exige repos, soins ciblés, rééducation progressive, et attention à ne pas aggraver la condition.
LeBron James est bien conscient de ces enjeux. Il a confirmé qu’il adopterait une approche “jour par jour” pour évaluer son état et progressivité de son retour : « Je vais regarder chaque jour, voir si ça s’améliore, et prendre les mesures appropriées ».
L’absence probable de LeBron dans les premières semaines va créer un défi pour les Lakers, qui comptent sur lui comme leader et moteur sur le terrain. En son absence, les coéquipiers — dont Luka Doncic — devront absorber sa charge offensive, sa présence défensive et sa capacité à changer le cours d’un match.
Au-delà de l’impact immédiat, cette blessure soulève la question de la gestion de la santé d’un athlète vieillissant. Approcher les 41 ans, LeBron a déjà fait face à des épisodes de blessures (cuisse, genou, cheville) au cours de sa carrière. La moindre durée d’inactivité peut peser lourd dans le rythme, la préparation physique et la forme globale.
En attendant, les fans et les observateurs attendent de voir comment les Lakers vont s’adapter stratégiquement à cette coupure, et surtout si LeBron reviendra en pleine forme, sans précipitation risquée. Si cette sciatique est bien gérée, elle pourrait ne rester qu’un obstacle temporaire — mais dans une saison aussi compétitive, chaque match compte.